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Berlin, Hitler et moi

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d'Abel Bonnard- 152 pages

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Homme politique, journaliste, écrivain mais aussi poète et grand voyageur, Abel Bonnard (1883-1968), d’abord maurrassien et proche de l’Action française, évolua vers le fascisme dans les années 1930. Partisan du rapprochement franco-allemand, il voyage en Allemagne en 1937, sympathise avec Otto Abetz et Ernst Jünger, et rompt avec l’anti-germanisme de Maurras. Il sera nommé ministre de l’Éducation nationale en 1942 dans le gouvernement de Vichy.

Après une mise au point sur la question juive et plus largement sur le racisme et le problème de l’assimilation, il décrit ici ses impressions sur le Berlin d’avant-guerre, évoque la foule assistant aux discours d’Hitler, le rôle fondamental pour la cohésion nationale du Reichsarbeitsdienst, qui mêle dans le travail le fils du bourgeois, du petit commerçant et celui du meunier. De sa rencontre avec Hitler, il se souvient : « Il parle devant moi plus qu’il ne me parle, tout à ses idées et ne voyant qu’elles. Ce que je sentais, en l’écoutant, c’est combien il fait corps avec son peuple. Il en parle moins avec la sollicitude extérieure d’un homme penché sur lui qu’avec la sympathie et les affinités naturelles d’un homme qui en monte. »

Revenu en France, il s’adresse aux chefs des miliciens et les exhorte « entre le communisme qui broie l’homme et le capitalisme qui le dissout » à choisir l’Europe où « grandit la Révolution créatrice », qui instaurera la fin du règne de l’argent, celui de l’individu « atome d’une foule au lieu d’être l’élément d’un peuple » et le retour à une vie en commun, car « l’homme ne s’augmente qu’en s’oubliant », rappelant que « sur ce point les prescriptions de la morale sociale d’aujourd’hui s’accordent parfaitement avec les éternelles prescriptions de la morale religieuse ». Enfin, il nous livre ses pensées après la défaite, fustigeant la propagande et l’ingérence anglaises, ainsi que la faiblesse de beaucoup de Français, qui, ne sachant plus que penser et que croire, commencent par tout refuser et finissent par tout subir, alors que l’Occasion, « déesse qui ne s’assied pas », est là, prête à être saisie pour changer le destin de la France.

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