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Berlin. De la défaite honorable à la barbarie soviétique. 3 Tomes.

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de Bernard Plouvier - 404, 258 et 530 pages

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Tome 1:

De l’automne de 1917 à la crise économique : le Judéo-bolchevisme et le Reich intermédiaire

Cet ouvrage s’écarte résolument des chemins archi-battus par l’historiographie de l’ère globalo-mondialiste, où la narration des années 1917-45 doit être centrée sur la « Culture de Weimar », puis la  Shoah, pour déboucher sur une nécessaire repentance non seulement des Germains, mais aussi de tous les membres des nations qui connurent les affres d’une guerre très stupidement déclenchée pour un motif opposé au Droit des peuples : empêcher le Reich de reprendre en mains Dantzig et son Hinterland peuplés à 97% d’Allemands !

Les années 1917-33, dans le Reich, furent celles du judéo-bolchevisme, sinon triomphant, du moins générateur d’une guérilla civile de longue durée : tous les contemporains l’ont noté, même un certain Winston-Spencer Churchill !

Les années 1919-32 sont ce que les contemporains ont appelé le « Reich intermédiaire » (une appellation d’historiens à compter du 1er février 1933), le « Système de Weimar » (c’était l’appellation méprisante des patriotes) ou la « Juden-Republik » (une appellation d’origine socialiste, reprise par la presse étrangère indépendante des lobbies juifs).

Examinée du point de vue des contemporains allemands ou étrangers, cette période peut se raconter de façon très différente…

Tome 2:

1929-1932 : la Grande détresse et l’espoir d’un renouveau 

Dès 1928, en tout pays fortement industrialisé (USA, Grande-Bretagne, Reich), commence à se tasser la consommation des ménages : une certaine saturation est survenue dans la course à la modernité dans la vie quotidienne.

L’année 1928 et les sept premiers mois de 1929 marquent l’apogée des années de prospérité, en partie factice car la consommation repose essentiellement sur le crédit. Or depuis 1925, des psychopathes avides de fortunes vite gagnées spéculent sur tout : valeurs boursières et matières premières, marché immobilier et objets d’art. Ils le font en détournant une grande partie des crédits prévus pour entretenir la consommation.

L’automne de 1929, commencent à s’effondrer les cotations boursières à Londres, New York, Berlin, Francfort/Main et Amsterdam, dans les suites de faillites où s’effondrent quelques canailles d’affaires, pratiquant le détournement de fonds et la « cavalerie » : chaque époque a les chevaliers qu’elle mérite !

L’explosion d’énormes bulles spéculatives – infiniment plus grosses que celles de 1873-74 et de la première décennie du XXe siècle, mais de même mécanisme – crée un effondrement des liquidités, donc de la consommation et des investissements publics et privés, d’où un chômage d’ampleur et de durée inédites, sauf en URSS – où l’on vit en quasi-autarcie – et au Japon – où l’on entreprend très vite la conquête de la Mandchourie pour remédier à la crise.

Dans aucun pays, les gouvernements ne trouvent de solution efficace… sauf dans le III e Reich, où les effets de la crise seront annulés avant que ne soit débuté un réarmement, qui ne sera jamais « massif » avant 1943. En revanche, seul le réarmement majeur permettra de régler le chômage monstrueux en Grande-Bretagne, aux USA (où le New Deal fut une affaire coûteuse, anti-constitutionnelle et inefficace) ou en France !

Tome 3:

1933-1945 : La Révolution nationale-socialiste et la guerre

Tout oppose le Reich intermédiaire dit de Weimar et le Reich nazi. D’un côté, l’on baigne dans une atmosphère de corruption politico-administrative, dans l’impudeur publiquement affichée, dans le « bousillage artistique », et l’on termine en apothéose par l’inefficacité intégrale des politiciens dans la gestion de la crise économique et sociale dramatique débutée fin 1929.

De l’autre, la Révolution nationale-socialiste des années 1933-39 se présente comme un modèle d’efficacité, de progrès économiques, sociaux, techniques et scientifiques, hélas annulés par des crimes commis durant la plus atroce de toutes les guerres qui aient ensanglanté l’Europe – une guerre qui ressembla tant à la Guerre de Trente Ans (1618-1648) qui avait entraîné un génocide des populations germaniques.

Si les crimes ordonnés par le Führer du IIIe Reich sont indéniables et disqualifient son œuvre, ils ne furent ni originaux ni isolés. Les Alliés occidentaux et soviétiques en ont commis bien d’autres, restés impunis. Par ailleurs, toute l’histoire humaine – depuis la Préhistoire et le démocide irréversible et intégral des espèces d’Homo pré-sapiens (les neanderthalensis, denisovensis, floresiensis, luzonensis, et ceux qu’il reste à découvrir) – abonde en génocides-démocides-populicides. Il est plus que temps d’intégrer l’histoire réelle du IIIe Reich dans la longue tragédie de l’Enfer terrestre.

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