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Opération "Vésuve". L'histoire très secrète de la libération de la Corse
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d'Henri-Christian Giraud - 320 pages
Le 11 novembre 1942, 80 000 soldats italiens envahissent la Corse.
Le général Giraud, commandant en chef des forces françaises d’Afrique du Nord, projette aussitôt sa libération. Dès le 14 décembre, grâce au légendaire sous-marin Casabianca, la mission « Pearl Harbor » est sur place pour renseigner Alger sur le dispositif ennemi et armer les patriotes, puis pour les rassembler – sur la base d’un Front national élargi – au sein d’une seule et même armée secrète. Ce sera l’oeuvre du Jean Moulin corse : le commandant Paul Colonna d’Istria.
L’annonce surprise de l’armistice italien ayant provoqué le soulèvement de la population, tout est à craindre d’une riposte foudroyante de la Sturmbrigade Reichsführer SS renforcée par la 90e Panzer en voie de débarquement. Il y a urgence. La Corse demande l’aide de l’armée.
À plus de 700 kilomètres de l’Afrique du Nord française et à la merci de l’aviation allemande basée en Sardaigne, l’opération « Vésuve » est un défi aussi gigantesque que risqué. Giraud décide de le relever. Contre l’avis des Alliés et du général de Gaulle, et malgré les plus sombres pronostics. En moins de trois semaines, ce qu’il reste de notre marine réussit l’impossible : transporter 8 000 combattants. Bastia est prise le 4 octobre. La Corse est libérée par les seules forces françaises.
Voici le récit de ce coup d’audace et de cette réussite spectaculaire.
Journaliste, ancien rédacteur en chef du Figaro Magazine, collaborateur régulier du Figaro Histoire et petit-fils du général Giraud, Henri-Christian Giraud est l’auteur de plusieurs ouvrages historiques dont, récemment, Algérie : le piège gaulliste.
Le général Giraud, commandant en chef des forces françaises d’Afrique du Nord, projette aussitôt sa libération. Dès le 14 décembre, grâce au légendaire sous-marin Casabianca, la mission « Pearl Harbor » est sur place pour renseigner Alger sur le dispositif ennemi et armer les patriotes, puis pour les rassembler – sur la base d’un Front national élargi – au sein d’une seule et même armée secrète. Ce sera l’oeuvre du Jean Moulin corse : le commandant Paul Colonna d’Istria.
L’annonce surprise de l’armistice italien ayant provoqué le soulèvement de la population, tout est à craindre d’une riposte foudroyante de la Sturmbrigade Reichsführer SS renforcée par la 90e Panzer en voie de débarquement. Il y a urgence. La Corse demande l’aide de l’armée.
À plus de 700 kilomètres de l’Afrique du Nord française et à la merci de l’aviation allemande basée en Sardaigne, l’opération « Vésuve » est un défi aussi gigantesque que risqué. Giraud décide de le relever. Contre l’avis des Alliés et du général de Gaulle, et malgré les plus sombres pronostics. En moins de trois semaines, ce qu’il reste de notre marine réussit l’impossible : transporter 8 000 combattants. Bastia est prise le 4 octobre. La Corse est libérée par les seules forces françaises.
Voici le récit de ce coup d’audace et de cette réussite spectaculaire.
Journaliste, ancien rédacteur en chef du Figaro Magazine, collaborateur régulier du Figaro Histoire et petit-fils du général Giraud, Henri-Christian Giraud est l’auteur de plusieurs ouvrages historiques dont, récemment, Algérie : le piège gaulliste.