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La super-classe mondiale contre les peuples
de Michel Geoffroy - 475 pages.
En Occident on ne vit plus en démocratie mais en post-démocratie : les gouvernements ne gouvernent plus mais obéissent aux marchés et aux banques, les puissances d'argent dirigent les médias et les peuples perdent leur souveraineté et leurs libertés. Pourquoi ? Parce que depuis la chute de l'URSS le pouvoir économique et financier s'affranchit du cadre national et veut gouverner à la place des Etats. Parce que la fin du communisme nous a libérés de la Guerre froide, et lui a succédé la prétention obstinée du messianisme anglo-saxon à imposer partout sa conception du monde, y compris par la force. Ce double mouvement s'incarne dans une nouvelle classe qui règne partout en Occident à la place des gouvernements : la superclasse mondiale. Une classe dont l'épicentre se trouve aux Etats-Unis mais qui se ramifie dans tous les pays occidentaux et notamment en Europe. Une classe qui défend les intérêts des super riches et des grandes firmes mondialisées, sous couvert de son idéologie : le libéralisme libertaire et cosmopolite. Une classe qui veut aussi imposer son projet : la mise en place d'un utopique gouvernement mondial, c'est-à-dire la mise en servitude de toute l'humanité et la marchandisation du monde. Une classe qui manipule les autres pour parvenir à ses fins, sans s'exposer elle-même directement. Avec La Superclasse mondiale contre les peuples, Michel Geoffroy dresse un portrait détaillé, argumenté et sans concession de la superclasse mondiale autour de cinq questions : que recouvre l'expression superclasse mondiale ? Que veut-elle ? Comment agit-elle ? Va-t-elle échouer dans son projet de domination ? Quelle alternative lui opposer ? Un ouvrage de référence pour comprendre les enjeux de notre temps.
Préface de J.Y Le Gallou :
"L’énarque Michel Geoffroy a vécu une double vie. Haut-fonctionnaire le jour, il a conduit une brillante carrière débouchant sur les plus hauts postes de Bercy. Essayiste la nuit et le week-end, il a été durant 40 ans à la pointe de la bataille des idées intervenant successivement au Club de l’Horloge puis à Polémia. Sans oublier son apport décisif au mitan des années 1990 à la revue « Identité ». A ce titre Michel Geoffroy est un père naturel du courant identitaire. Avec La super-classe contre les peuples il nous livre aujourd’hui une analyse profonde de la situation politique et géopolitique mondiale.
La superclasse mondiale, ce sont des hommes et des femmes venus de tous les continents et qui se sentent plus proches les uns des autres que de leur propre peuple. Ils partagent les mêmes aéroports, les mêmes grands hôtels et les mêmes lieux branchés mais ignorent « les gens de rien » qui fréquentent les TER et les trains de banlieue…
La superclasse mondiale, c’est une série de cercles concentriques
Au centre du cercle, quelques milliers d’hommes qui participent aux grandes conférences internationales comme Davos et le Bilderberg. Ils se retrouvent aussi dans des clubs nationaux très sélects comme « Le Siècle » ou la « French americanfoundation ». C’est la Davoscratie matinée de Soroscratie.
Ces quelques milliers de dirigeants exercent leur influence à travers quelques centaines de milliers d’autres hommes. Ceux qui exécutent les partitions qu’ils leur commandent, ou recommandent, dans les entreprises, les administrations, les palais de justice, les médias, les coteries culturelles, les ONG.
Et derrière eux, des dizaines de millions de réémetteurs s’affairent à servir ceux qui gouvernent : La classe médiatique – alliance du grand capital financier et du gauchisme de salle de rédaction – en est le principal relais. A la base, tel l’esclave noir dans le champ de canne à sucre, le grouillot de la PQR (presse quotidienne régionale) sert ses maîtres. En relayant, sans recul ni discernement, leurs mots d’ordre libréchangistes, immigrationnistes et déracinants.
La superclasse mondiale est en rupture complète avec la culture européenne – et chrétienne – de l’incarnation : c’est un pouvoir impersonnel et sans visage. Et qui interdit la représentation ou la dénonciation de ceux qui, à défaut de l’incarner, en sont les représentants archétypaux. Ainsi dénoncer Soros comme le fait le Premier ministre hongrois Victor Orban ce serait, horreur (!), du « complotisme » !
La superclasse mondiale ne défend pas seulement les intérêts des milliardaires et des multinationales, elle a aussi un projet eschatologique : le cosmopolitisme ; c’est-à-dire un monde sans frontières, sans frontières physiques ni mentales ; bref un monde indifférencié.
La superclasse mondiale ne gouverne pas seulement par le « soft power » de l’influence, elle utilise aussi et surtout la stratégie du choc pour sidérer et ahurir ses opposants.
Choc anthropologique qui consiste à nier les différences d’origine, de sexe, de race, de culture, de civilisation.
Choc éducatif avec les « pédagogies nouvelles ».
Choc linguistique visant à bouleverser artificiellement la grammaire et l’orthographe comme prétend le faire « l’écriture inclusive ». Mais aussi manipulation des mots avec la mise en place politico-médiatique d’une novlangue digne de 1984 d’Orwell.
Choc migratoire imposant dans les villes, les quartiers et maintenant les campagnes, des communautés étrangères imposant progressivement leurs mœurs au détriment des peuples d’origine, de leurs règles de vie, de leurs mœurs et de leurs lois.
Choc mémoriel visant à supprimer la connaissance de l’histoire et le respect des ancêtres par une repentance permanente fondée sur une présentation pathologique du passé. Un passé qui se résumerait aux pires aspects de l’esclavage, de la colonisation et de la seconde guerre mondiale.
Choc financier avec la prolifération des dettes qui permettent d’avoir barre sur les hommes, les entreprises, les Etats.
Choc médiatique avec la propagation univoque de la foi politiquement correcte et la diabolisation des « déviants ».
Michel Geoffroy ne se borne pas à décrire la superclasse mondiale. Il donne aussi des pistes pour combattre sa tyrannie.
Développer une culture de la dissidence et de la résistance.
Œuvrer au réveil de notre civilisation
S’appuyer sur la résilience des peuples et des gouvernements d’Europe de l’est et de Russie.
S’adosser sur le développement des médias alternatifs."