Et si Joseph Staline avait laissé des mémoires érotiques ? Et si ce texte, conservé par le KGB, était sorti clandestinement d’URSS en même temps que ceux des dissidents ?
Alain Paucard, traducteur du russe renommé, s’en était procuré un exemplaire et l’avait publié une première fois en 1979 aux Éditions Baudouin. Staline, grand lecteur d’auteurs classiques, dont son préféré Dostoïevski, y fait preuve d’un humour très sadien.
Apocryphe ou authentique, ce récit est à lire pour sa verdeur comme pour son apport historique sur des points capitaux comme sa rencontre avec Lénine, ses relations avec Thorez, Gide, de Gaulle, etc. Sans oublier les kolkhoziennes.