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La fin de la IIIe République - 1939-1945 : Mon devoir de mémoire vol. 1
de Yves Baeckeroot, 332 pages
Faut-il toujours croire ce que nous raconte l’Éducation nationale ?
Pour cet ancien professeur, la réponse est hélas non ! Notre histoire nationale est de plus en plus présentée à travers une sorte de prisme déformant.
Du « Il faut venir au secours de la glorieuse Allemagne… » (du 11 novembre 1918) à « Nous nous sommes trompés de cochon » (quand il désignera Staline en 1945 ou 1946 ?) nous trouvons toujours ce même ennemi viscéral de la France : Winston Churchill. La guerre n’est pas belle à voir, pas plus que l’avant ou l’après-guerre. Trop souvent mensonges et falsifications viendront occulter la triste réalité. Ces multiples omissions conduiront ce livre à nous offrir une vision non conventionnelle de cette histoire de France récente.
Comment faut-il comprendre cette amitié britannique avec : cette francophobie anglaise de l’entre-deux-guerres ? Cet accord du 18 juin 1935 – 120 ans après Waterloo ? Ce revirement d’un pacifisme anglais à tout crin au bellicisme ? Ces atermoiements de 1939 à cette fuite à Dunkerque ? Cet acte de vile piraterie de Churchill à Mers el-Kébir ? Ces attaques contre la France à Dakar, au Levant puis à Madagascar ? Ces bombardements criminels contre les populations civiles françaises ?
Et tout ce qu’il est de bon ton de ne pas mentionner au sujet de ces deux calamités du siècle dernier : communisme et nazisme. Elles n’ont pu s’installer que grâce au concours des anglo-saxons largement secondés par l’autre fléau : la finance internationale et apatride. Grande-Bretagne et États-Unis auraient pu s’éviter tous ces morts s’ils n’avaient pas favorisé l’Allemagne, avant et avec Hitler, ainsi que le bolchevisme en Russie.
Fils de paysan né en Creuse en 1944, juste avant la « Libération » et les assassinats de l’« Épuration » commis par les maquis dans cette « Zone de non-droit » ! Engagé dans le syndicalisme, il aura des responsabilités nationales au SNALC. Il se consacre depuis à chercher non un sens à l’Histoire, mais les prémisses de ce que sa génération a vécu, voire subi.