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Le fusillé du Mur des cons

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de Claude Weill-Reynal, 129 pages

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« Au Syndicat de la magistrature, tout ce qui n’est pas de gauche est suspect de nazisme ! » (Weill-Raynal/RMC)
« J’ai révélé les turpides d’un syndicat de magistrats qui se trouve être un syndicat ami, plus qu’un syndicat ami. La CGT et le SNJ, qui me sont tombés à bras raccourcis, sont des alliés politiques du syndicat de la magistrature. S’attaquer à l’un, c’est s’attaquer à l’autre. » – Clément Weill-Raynal


Le 23 avril 2013, la publication de la vidéo du "mur des cons" filmée par Clément Weill-Raynal dans les bureaux du Syndicat de la magistrature déclenche une forte polémique. Sur ce mur figurent des dizaines de photos de personnalités politiques, pour la quasi-totalité classées à droite : Nicolas Sarkozy, Eric Woerth, Edouard Balladur, Nadine Morano, François Barouin, Michèle Alliot-Marie, Luc Ferry, Eric Besson, Brice Hortefeux…Mais aussi des intellectuels : Jacques Attali, Alain Minc, Alexandre Adler… et des journalistes : Eric Zemmour, Etienne Mougeotte, David Pujadas… Fait encore plus grave, et totalement incompréhensible, des parents de victimes figurent aussi sur le mur. Cette affaire du "mur des cons" soulève plusieurs questions : il est dressé par des magistrats qui se montrent eux-mêmes très sourcilleux sur les limites de la liberté d'expression en matière d'injure et de diffamation ; il ressemble à un "tableau de chasse", il stigmatise des personnalités qui ne portent pas les valeurs de gauche dont se revendique le Syndicat de la Magistrature, plus grave encore, il constitue une faute grave qui interroge sur les messages que ce Syndicat peut faire passer à ses adhérents. Une justice impartiale ? Indépendante ? Cette affaire est révélatrice d'une justice de plus en plus politique.

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