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Le procès de condamnation de Jeanne d'Arc

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de André Wartelle, 192 pages

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Les minutes du procès
Le plus beau texte de la langue française n’est pas l’oeuvre d’un savant, ni d’un poète, ce sont les réponses de Jeanne d’Arc à ses juges, consignées au cours de son procès ouvert à Rouen le 9 janvier 1431 et conclu par sa mort sur le bûcher, cinq mois plus tard, le 30 mai.
Brûlée sur la place du vieux marché à Rouen, le 30 mai 1431, à 19 ans, sainte Jeanne d’Arc est une héroïne nationale dont l’intervention, bien que brève, fut décisive dans l’histoire de France. Canonisée par Benoît XV en 1920, elle fut proclamée patronne secondaire de la France en 1922, par Pie XI, on la fête au jour de sa mort, le 30 mai. L’abbé André Wartelle, doyen honoraire de la Faculté des lettres de l’Institut catholique de Paris, nous présente le procès de condamnation de Jeanne d’Arc, qui s’est tenu à Rouen du 9 janvier au 30 mai 1431. Il témoigne, comme l’auteur le souligne, de cette parole de Jésus : Quand on vous traînera devant les synagogues, les magistrats et les autorités, ne vous mettez pas en peine de la manière dont vous vous défendrez, ni de ce que vous direz : c’est le Saint-Esprit qui vous enseignera à l’instant même ce qu’il faudra dire. Les réponses de Jeanne à ses accusateurs ont une force et une pertinence incomparable. Elle n’hésite pas également à avertir l’évêque Cauchon : Prenez garde à ce que vous faites, parce qu’en vérité je suis envoyée de par Dieu, et vous vous mettez vous-même en grand danger. Elle affirme n’avoir tué personne et lorsqu’on lui demande si son ange ne lui a pas manqué puisqu’elle a été prise, elle répond avec un abandon total à Dieu : Je crois, puisque cela a plu à Dieu, que c’est pour le mieux que je sois prise.

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